Salut les petits crapauds!!!

Bon ben voilà, c'est fait.
Première expo commencée, premier vernissage terminé!
C'était vraiment bien, vraiment très bien, mais vraiment très très bien!
Suffisamment pour me donner envie de réaliser d'autres expos, de plus grande ampleur cette fois-çi.
Mais QUEL BOULOT!

Epuisé, je me repose un peu depuis deux jours (malgré le travail à côté) autrement dit, je ne fous plus rien à la maison!

Bon, des bouts de mon dossier pour raconter le vernissage, quelques photos et moi je vais au lit!

Tout commence avec une note, une simple note, claire, limpide et profonde comme une inspiration, sous l'eau, ou bien dans la stratosphère. Allez! Allez... envole-toi! Il prend son envol, tout de blanc paré, de toute son envergure, timide au premier abord, puis de plus en plus confiant, comme un engin magnifique, qui commence à briller sous les effets des jours de lumière. Et comme il brille, un peu par contraste avec ces extérieurs de pluie.
En effet, c'est un peu comme dans une bulle, cette expo Première Génération, une bulle intimiste et hermétique.

A part une toile particulièrement explicite, que beaucoup découvrirent ce jour-là (totalement inédite), l'artiste avait choisi des oeuvres qui semblaient ne pas dire beaucoup, tout du moins en apparence. C'est alors que des voiles de signification commencèrent à flotter dans les airs, des messages subtils, des murmures dans les murs, et autres chuchotements couverts par les crépitements.
Ici, c'est la dualité du corps et de l'esprit, de l'homme à la femme, de l'interchangeabilité sans le contexte socio-culturel ambiant.
Là, ce sont des ponts entre les mondes, entre une ville réelle, qui n'est pas montrée, et celle imaginaire, qui est rêvée, dessinée avec magie, en filigrane entre les étincelles.
Un peu plus loin, c'est une porte en trompe-l'oeil, la culture de l'impossible qui ouvre sur les dimensions cachées de l'esprit.

Intérieur, intérieur de la bulle, c'est ainsi qu'il avait imaginé son vernissage comme un miroir déformé, une goutte où les formes se confondent, la dimension voisine.
Nous avons terminé par un pot, agréable, où d'autres bulles de conversation se sont formées, puis défaites, et rassemblées dans le microcosme d'un peu d'art au goût du soir. Puis la musique a décliné, calmement, avant de s'éteindre et nous renvoyer dans nos foyers respectifs.

Première Génération, ma première génération d'oeuvres, je vous l'offre avec sincérité, et de tout coeur espère que ses rayons vous auront irradié d'émotions tranquilles et nouvelles

Vernissage!!!!

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